Dans tous les établissements, je veux souligner le travail de grande qualité et l’engagement des toutes les équipes pour accompagner la réussite de nos enfants.

Voir, concrètement, la mise en oeuvre de nos réformes sur le terrain, est essentiel dans le travail du parlementaire. Au delà de l’exercice de son pouvoir de contrôle, c’est également une manière de mieux légiférer, en écoutant la parole et les constats des agents publics, en charge de leur mise en oeuvre, et des usagers.

A Woippy, aux côtés de l’Inspecteur de l’Education Nationale Gaëtan FELICI, j’ai pu constater le dédoublement effectif des classes de CE1, avec des effectifs limités à 12 élèves. Une mesure pour rétablir l’égalité des chances et l’accès aux savoirs fondamentaux, complétée d’une revalorisation du traitement des enseignants affectés aux établissements en réseau d’éducation prioritaire +, à hauteur de 1000 euros par an dès cette année (3000 euros par an d’ici 2020).

A Moulins-les-Metz, au collège Louis Armand, c’est le dispositif « Devoirs faits » dont je souhaitais tirer une première évaluation, tant il est essentiel pour garantir à tous les meilleures conditions de réussite. Je suis satisfait de la mise en oeuvre généralisée dans l’ensemble du département, tout en constatant que le nombre d’heures allouées semble insuffisant à répondre aux besoins.

A Rombas, aux côtés de la Rectrice de l’Académie Nancy-Metz Florence ROBINE, j’ai pu constater le déploiement du programme Lycées 4.0 mis en oeuvre par le Conseil régional du Grand Est. Lorsque les usages numériques viennent en appui de la transmission pédagogique, nous préparons les élèves à évoluer dans un monde où les métiers se transforment et où l’agilité numérique devient une véritable compétences.

A Metz, au lycée Louis Vincent, j’ai pu échanger avec des élèves de seconde sur la réforme du baccalauréat, introduisant une part de contrôle continu et la disparition des filières telles qu’elles sont organisées aujourd’hui. Ils seront, en effet, les premiers concernés par ces mesures. Pour les y préparer, le renforcement de l’orientation en seconde, avec 54 heures dédiées au cours de l’année, est également une véritable avancée pour permettre aux jeunes élèves d’opérer des choix éclairés.

Enfin, à l’Université de Lorraine, ce sont les enseignants et étudiants de la filière « Sciences et techniques des activités physiques et sportives » que j’ai souhaité rencontrer : d’une part pour recueillir leur avis sur la loi « Orientation et réussite des étudiants » et d’autre part parce que le parcours « Sport et santé » du master STAPS fait écho à mon travail parlementaire sur les activités physiques adaptées sur prescription médicale.

Dans tous les établissements, je veux souligner le travail de grande qualité et l’engagement des toutes les équipes pour accompagner la réussite de nos enfants.