I – ENFIN !

Enfin, les enfants de Semécourt n’auront plus besoin de prendre le bus, pour aller à Plesnois, matin, midi, soir, mercredi, pour compléter leur journée scolaire.

Enfin, un service de qualité, rendu sur place, adapté aux besoins des familles de Semécourt.

C’est important. C’est capital.

Un enfant qui grandit dans de bonnes conditions est un enfin qui apprend bien.

Un enfant, autour duquel une communauté de proximité se crée, est un enfant en confiance.

Un enfant, dont la famille est rassurée quand elle part loin, parfois jusque Luxembourg, pour travailler, est un enfant épanoui.

Les rôles de l’Etat et des communes, partagés, sont très complémentaires pour atteindre ces objectifs. Nous avons, très tôt, fait le constat qu’il fallait tout miser sur la réussite et l’épanouissement de nos enfants.
C’est un investissement vers la société de demain.

C’est la raison pour laquelle la scolarité est désormais obligatoire, dès 3 ans.
C’est la raison pour laquelle des petits-déjeuners gratuits sont désormais distribués, dans les endroits les plus pauvres.
C’est la raison pour laquelle nous avons voulu faciliter l’accès aux cantines scolaires.

Et pris plein d’autres mesures complémentaires, comme le versement forcé des pensions alimentaires pour les familles monoparentales ou encore le dédoublement de certaines classes où l’on apprend à lire, écrire, compter.

II – BRAVO !

Bravo à l’équipe municipale, à Eugène et à tous les élus.
Ils ont non seulement mis en place ce nouvel équipement, mais ils l’ont auto-financé grâce à une gestion agile des finances communales.

Eugène, tu incarnes, comme de nombreux maires, la République du quotidien.
Celle dont la vie n’est pas facile tous les jours, entre les multiples tensions des demandes des citoyens, des injonctions de l’Etat, des normes et des équations budgétaires complexes.

Celle dont nous avons voulu faciliter la vie, avec la loi «Engagement et proximité », qui permettra notamment :
– de dresser des amendes administratives sans passer par la case judiciaire,
– de se faire représenter par l’élu de son choix dans les réunions intercommunales,
– de retrouver pleinement son autorité pour les actes d’urbanisme.

Je veux tirer un coup de chapeau à Eugène WEISSE et, à travers lui, à tous ces maires auquel nous devons :
– non seulement des équipements qui facilitent et embellissent la vie -comme celui-ci-,
– mais également cette République du quotidien, qui m’est si chère.

Bravo à tous et merci.