C’était le dernier budget de la mandature, un acte important.

  • Le constat de la stabilité des dotations, depuis 2017, et de l’augmentation continue de la dotation de solidarité urbaine, pour répondre aux besoins des plus modestes.
  • Une Solidité de notre gestion budgétaire. L’avenir est préservé. L’année (électorale) de transition est préparée. Nos fondamentaux sont plus que corrects.
  • Ceux qui nous critiquent vont faire des bonds lorsqu’ils prendront connaissance du rapport d’observations de la Cour des Comptes. Quand ils le compareront à celui de Woippy, ils comprendront que certains font de l’esbroufe, et d’autres du bon travail !
  • Finir un mandat, avec des priorités sur la transition écologique et les solidarités, est une fierté ! Tous n’ont pas préparé l’Anru 2 avec le sérieux avec lequel nous l’avons préparé. Les engagements que nous prenons dans ce budget sont gravés dans le marbre : ils vont changer la physionomie des quartiers les plus en difficulté.
  • On se rappellera du fameux « effet de ciseaux » que nous avons eu à affronter, à notre entrée en fonction. En gros, une évolution des dépenses incontournables plus rapide que l’évolution des recettes, faisant courir un risque de cessation de paiements. A l’heure où de nombreux « rauschistes » voudraient reprendre du service, ils peuvent constater que la situation est bien meilleure qu’à leur arrivée. Raison de plus pour ne pas leur redonner les clés d’une maison Metz qu’ils n’ont pas su gérer !