
Un accord de principe a été trouvé entre les deux pays pour assurer, dès 2022, 34 jours de télétravail aux frontaliers français travaillant au Luxembourg.





– de poser les bases d’une coopération pour la formation des ressources humaines en santé qui garantisse leur répartition équilibrée sur tout le territoire du bassin de vie transfrontalier
– d’anticiper en commun la réforme des études en soins infirmiers et leurs évolutions, tant en France (Augmentation du nombre de places de formation dans les Instituts, cursus spécialisés et notamment IPA bac +5), qu’au Luxembourg (mise en place prévisionnelle de 8 nouveaux bachelors en soins infirmiers en 2023)
– d’une plus grande participation aux frais de formation des personnels de santé (médecins, dentistes, infirmiers, autres catégories de personnel soignant).
– d’une meilleure répartition des étudiants issus de L1 et L3 du Bachelor en santé de l’Université du Luxembourg dans les 4 universités d’accueil françaises.
Elles devront encore être confortées dans une logique de codéveloppement, comme la ministre Corinne CAHEN l’a suggéré hier, en conférence de presse, sur la formation des aide-soignants.